La Banque Populaire du Sud au titre de sa garantie extrinsèque d’achèvement et la Préfecture du Cantal au regard de sa mission de veiller au maintien de l’ordre public, à la sécurité des personnes et des biens et de son obligation de veiller à la santé environnementale de son département, ont été saisies dès le 27 août 2008 par les copropriétaires excédés.
La Banque Populaire du Sud étant la banque du promoteur, elle ne pouvait déjà ignorer la situation.
La Préfecture non plus. Dans ses missions de contrôle de la délivrance des permis de construire (bien qu’elle n’en ait pas la charge exclusive) et de veille au respect du patrimoine culturel du département et de protection des monuments historiques et des sites remarquables, le scandale et les rumeurs qui entouraient le chantier de la construction du Grand Phénix ne pouvaient lui échapper.
Or à cette époque où aucune action judiciaire n’était encore engagée, ni la Banque Populaire du Sud, ni la Préfecture du Cantal n’ont réagi au désastre prévisible qui se préparait. Il faut aujourd’hui une débauche de procédures et d’efforts pour mettre à jour ce qui l’était déjà : la construction du Grand Phénix au Lioran organisée par Norbert ABOU est un scandale et une injure au bon sens et à la responsabilité privée et publique !
Lire dans le PDF joint, les 3 lettres qui dénoncent en 2008 le scandale !
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