La Banque Populaire du Sud est née le 30 novembre 2005 du rapprochement de la Banque Populaire des Pyrénées-Orientales, de l’Aude et de l’Ariège et de la Banque Populaire du Midi.
Banque coopérative, le capital de la Banque Populaire du Sud est détenu par ses clients sociétaires, représentés au Conseil d’Administration par des entrepreneurs de la région, garants à la fois de son autonomie et de la qualité de ses services à la clientèle (Sic !). La Banque populaire du Sud a 475000 clients dont 188000 sociétaires. Elle est présente avec 230 agences et bureaux dans 7 départements depuis le fleuve Rhône jusqu’aux Pyrénées centrales.
Ses principes fondateurs sont : l’ancrage régional, la solidarité et la coopération, la proximité avec ses clients.
Mais alors forte de ses principes, pourquoi la Banque est-elle allée soutenir un promoteur indélicat dans le Cantal (Le Lioran) et dans la Vanoise (Termignon la Vanoise) alors qu’elle n’y a aucune agence et donc aucun lien de contrôle direct et de suivi ? Ou alors fait-elle intervenir les banques régionales des Banques Populaires ? Mais les 188.000 sociétaires garants de son autonomie et de la qualité de ses services à la clientèle sont-ils au courant des fiascos immobiliers et des actions en déni de responsabilité de la Banque Populaire du Sud qui ruinent des familles (110 au Lioran) ?
Voyez les articles publiés dans La Montagne et La Voix du Cantal à ce sujet, disponibles sur ce site.
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Simplement à communiquer à tous ses sociétaires que la BPS du Sud ne respecte pas ses engagements
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Et l’Etat dans tout ça ?
Petit conseil de contribuable : interpeller le nouveau préfet du cantal sur notre argent, notamment sur les millions d’euros décaissés par l’administration fiscale au titre de l’avance TVA...et qui ne seront que pure perte si la BPS ne joue pas son role de garant extrinsèque....
Car c’esr loin d’etre une affaire privée !
JLS
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